Quatorze

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SHOUD 5 - Série Je Suis Merlin - Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, le 06 Février 2021

 

ADAMUS SAINTGERMAIN

 

Je Suis Merlin

LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

 

Série: JE SUIS MERLIN

 

SHOUD 5

 

Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,

 

Présenté au Crimson Circle le 06 Février 2021

 

www.crimsoncircle.com

 

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NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

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Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner la vidéo du  SHOUD 5 sur le Site du Crimson Circle en Anglais, où sur  la vidéo You Tube ci-après, ou simplement l’écouter tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.

 

 

 

 

 

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Respiration d’Introduction de Linda

 

 

2

 

Nous sommes de retour

 

Bienvenue au Shoud 5 de La Série « Je Suis Merlin ».

 

Nous voici de nouveau ici, à Louisville Colorado, au Centre de Connexion du Crimson Circle, ici pour vous.

 

1

 

Très impatients, vous savez que c'est aussi un mois très spécial, le mois de l'Amour et de la Saint-Valentin et vous savez, la rumeur dit qu'Adamus a des choses particulières à ce sujet.

 

Je suppose que nous allons le découvrir.

 

Alors bienvenue.

 

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Je pense que nous sommes presque prêts à entrer dans le vif du sujet.

 

Alors, avec cela, avec cela, prenons une bonne respiration profonde.

 

Oui, nous le disons à chaque fois parce que c'est une respiration consciente.

 

3

 

Là où nous nous arrêtons, nous faisons une pause et prenons une bonne respiration profonde.

 

C'est un souffle qui laisse couler les énergies de la vie, honorant votre corps, honorant votre humain et honorant votre divin.

 

Prenez une bonne respiration profonde.

 

Vous pouvez Sentir les énergies d'Adamus si vous choisissez qu'il soit ici avec chacun de nous à chaque respiration.

 

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Donc, du fond de votre cœur, du fond de votre cœur,

 

Prenez une bonne respiration profonde alors que nous passons à Je Suis Merlin.

 

 

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*****

 

 

ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

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Je suis ce que je suis, le Magique et Musical Adamus Saint-Germain.

 

Ah! C'était un morceau de musique revigorant, tandis que nous entrions dans cette Session. Je parle du break musical, bien sûr, de ma musique avant que nous ne commencions (en référence à cette musique ). J'ai adoré composer. J'adorais les instruments. J'adorais chanter. J'aimais les femmes. J'aimais beaucoup de choses. J'aimais, j'aimais, j'aimais- je suppose que c'est un bon mois pour l'exprimer - mais j'adorais composer et jouer de la musique. Vous le saviez probablement, n'est-ce pas, Linda?

 

LINDA: Oh, bien sûr!

 

ADAMUS: Oui.

 

LINDA: Ouais, qu'est-ce que vous n'aimez pas faire?

 

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ADAMUS: Et avez-vous apprécié cette musique à la pause?

 

LINDA: En fait, oui.

 

ADAMUS: Vous l'avez appréciée. Pas Cauldre. Je suis certain qu’il apprendra un jour. Son sens de la musique, ses goûts mûriront à un moment donné.

 

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Mais, non, j'adore composer, et j'ai composé, je dirais, 83 symphonies différentes à mon époque, dont certaines existent encore aujourd'hui, bien sûr. J'adorais peindre. J'ai adoré tant de choses sur la vie humaine, une fois que j'ai pris une bonne et profonde respiration et que je suis sorti de mon chemin. Ouais. C’est ce que je vous encourage tous à faire. Poussez-vous/ Sortez de votre chemin.

 

 

Votre Sceptre

 

Mais avant d’aller plus loin - nous avons beaucoup de choses à discuter aujourd'hui, avant d’aller plus loin - je veux faire quelque chose avec chacun d’entre vous, nous l’avons fait dans une petite mesure à Keahak. Nous allons en faire plus à Keahak à l'avenir, mais avant d’aller plus loin, je veux que vous imaginiez un sceptre. Savez-vous ce qu'est un sceptre? C’est comme une canne, mais ce n’est pas nécessairement utilisé comme une canne. Merlin tient un sceptre. Il y a généralement une boule sur le dessus - du verre, du cristal, de l'or, c'est encore mieux. Vous savez, j'adore l'or. Ouais, l'or a des propriétés tellement incroyables. Il a un côté paisible, énergétique, il a une belle paix.

 

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Alors, imaginez votre sceptre, peut-être un cristal sur le dessus et gravé dans le cristal qui tourne, vous savez, avec le cercle et le point au milieu, quatre rayons qui sortent représentant l'énergie. Ce serait une bonne idée. Et puis pour le manche, ça pourrait être de l'or. Cela pourrait être du bois. J'adorais un beau sceptre en bois. Le bois est tellement représentatif de la planète Terre. C'est si beau. C’est renouvelable. Vous pouvez l'utiliser pour vous réchauffer près de la cheminée. Vous pouvez l'utiliser pour les meubles, et il se renouvelle encore et encore.

 

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Alors, imaginez un sceptre, à quoi vous voulez qu'il ressemble et, oui, il peut changer. Il peut changer à chaque instant, chaque jour, si vous le souhaitez. Il n’est pas nécessaire qu’il reste le même, mais imaginez un sceptre. Et comme nous en avons parlé dans Keahak, et nous allons aller beaucoup plus loin avec cela, quand il y a des moments de confusion ou d'incertitude ou d'inconscience/d'inconnaissance, comme vous allez maintenant dans les temps Ænd ( NDI : proposition : Les Débuts de la Fin), allant au-delà de la dualité comme base de la réalité et que vous arrivez à ce moment incertain où il y a de l'inquiétude et même peut-être de l'anxiété et de la peur, vous prenez une grande respiration profonde et vous tenez simplement ce sceptre.

 

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Ce sceptre est le symbole de l'entrée dans tout ce que vous connaissez, même dans l'inconnu. Ce sceptre vous emmène au-delà des anciens schémas de pensée, de logique et d'émotions, et il vous transportera au plus profond de vos propres énergies où vous pourrez contempler toutes les possibilités, tous les potentiels et toutes les réponses pour vous-même. Pas pour les autres. Si les autres viennent vous voir et vous disent: «Hé, Bill, tu veux bien utiliser ce sceptre pour me faire entrer dans mon énergie?» la réponse est un non absolu. Il est pour vous. C'est le vôtre. Vos réponses sont là. Pas les réponses du monde. Pas les réponses de Bill. Ni de personne d'autre.

 

Dans les moments d'incertitude, dans les moments de, eh bien, quand vous sentez simplement que les choses vous dépassent, imaginez votre sceptre. Ce n’est pas une baguette magique. Vous ne l’agitez pas sur les grenouilles et ne les transformez pas en princes, mesdames ou messieurs. C’est un sceptre et il vous rappelle tout ce que vous êtes, il vous transporte au plus profond de votre énergie où vous pouvez voir toutes les réponses.

 

 

Adamus Saint-Germain

 

Nous allons commencer par cela, nous finirons par cela aujourd'hui, mais avant d'aller plus loin, je dois aborder un sujet d'une grande importance : Moi (Linda rit).

 

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«C'était si drôle, chère Linda?

 

LINDA: Oh, ouais!

 

ADAMUS: Oh, ouais. Ok.

 

LINDA: Mm hmm!

 

ADAMUS: Quelque chose de très important : Moi.

 

Maintenant, j'ai remarqué que vous avez enfin joué ma musique. Combien d'années cela fait-il que vous avez cette musique aux pauses et entre les deux et finalement vous choisissez de jouer un peu de ma belle musique?

 

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LINDA: C'était très agréable.

 

ADAMUS: J'adorerais voir un vote sur vos médias sociaux, chère Linda et vous tous, ceux qui ont adoré, qui aimeraient en entendre davantage tout le temps, et ceux qui pourraient s'en passer, comme Cauldre. Oui. Qu'avez-vous pensé de cette belle musique ? N'a-t-elle pas touché votre cœur?

 

LINDA: C'était de la belle musique classique.

 

ADAMUS: En ce mois de la Saint-Valentin.

 

LINDA: C'est magnifique. J'adore.

 

ADAMUS: Je vous remercie. Merci. Et elle n'a pas ...

 

LINDA: Vraiment…

 

ADAMUS:… été payée pour dire ça.

 

LINDA: Vous savez que je suis sincère.

 

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ADAMUS: Merci. Oui, nous sommes ici pour célébrer la Saint-Valentin et quel moment approprié pour jouer ma musique.

 

Maintenant, j'ai remarqué quelques erreurs et je ne voulais rien mentionner avant d'être devant le public - hé! - pour les faire ressortir, mais les dates de ma naissance. Pourriez-vous remettre cela en place, équipe de production? Lorsque vous affichez ce graphique, il y a quelque chose qui ne va pas du tout. Ils y travaillent, mais juste pour dire que les dates ne sont pas correctes. Ouais.

 

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LINDA: Je me suis posé des questions à ce sujet.

 

ADAMUS: Oui, moi aussi quand je l'ai vu et, bien sûr, il m'est impossible de corriger quoi que ce soit, sauf quand il y a tout un public pour le faire devant moi. Je ne suis pas mort en 1784. Beaucoup l'ont souhaité.

 

LINDA: Oof!

 

ADAMUS: Oh, c'est vrai. Et j'ai en quelque sorte disparu à cette période, mais je ne suis pas mort avant au moins une autre décennie ou plus.

 

LINDA: Oh.

 

ADAMUS: Donc, oui, et je suis né un peu plus tard que ce qui est montré à l'écran là-bas. Mais, vous savez, le fait est que l’histoire est si inexacte, si inexacte. L'histoire est plate, d'une part. L’histoire est l’opinion d’une personne, d’un écrivain, d’un chercheur sur ce qui s’est passé et souvent les dates de l’histoire sont terriblement fausses. Ne vous laissez pas induire en erreur par les faits de l’histoire, parce qu'il y a tellement plus que cela.

 

Deuxièmement, Je fais exception – une grande exception- avec l’image, le graphique que vous allez voir apparaître à l'écran, ce qui était  supposé être moi, et la chose que vous avez utilisée pour les pauses ou, eh bien, celle-ci est très bien aussi.

 

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LINDA: Vous aviez l’air un peu plus viril que ça, non?

 

ADAMUS: Merci, chère Linda d'Eesa, adorable créature. Oui, pourriez-vous réinstaller ce graphique, s'il vous plaît encore une fois. Vraiment? Je veux dire vraiment?! Saint Germain, l'illustre, le mystérieux, le charmant, le sensuel Saint-Germain ressemblerait à ça? Je doute que non.

 

Maintenant, le fait est que, voyez-vous, l'histoire fait des erreurs.

 

LINDA: Oh.

 

ADAMUS: Le fait est que c'était un bon ami à moi et que, d'une manière ou d'une autre, il a été confondu avec moi en cours de route par des historiens maladroits qui ont mis mon nom là-dessus. Revenons à la photo, s'il vous plaît (la photo revient). Vraiment?! Vraiment moi?! (Linda rit) Je veux dire, ce monsieur, un de mes amis, n'était pas beau et il était un peu plus corpulent que même ce qui est montré sur la photo là, et il a payé un supplément au peintre pour le faire paraître un peu plus beau qu'il ne l'était en réalité. Il avait des grains de beauté sur tout le visage et n'était pas très beau, mais pas moi. Pas moi. Non pas du tout.

 

Donc, le fait est que je n'ai eu aucun portrait de moi-même peint de mon vivant, pour diverses raisons (Adamus soupire). J'étais un meilleur peintre que n'importe lequel de ceux qui auraient été chargés de me peindre. Non sérieusement. J'ai fait plusieurs autoportraits, sept ou huit autoportraits. Je ne sais pas ce qu'ils sont devenus. J'imagine qu'il y en a peut-être encore un ou deux qui traînent dans le grenier de quelqu'un, dans ce grenier moisi, poussiéreux et infesté d'insectes, et j'espère qu'un jour ils le trouveront sans savoir qui est ce bel homme.

 

LINDA: C'était de la peinture?

 

ADAMUS: Je me suis peint moi-même.

 

LINDA: Oh.

 

ADAMUS: Un autoportrait. Oui.

 

LINDA: C'était de la tempera aux œufs ou de l'huile?

 

ADAMUS: C'était un autoportrait original, Linda.

 

LINDA: Ohh!

 

ADAMUS: C'était un autoportrait original, oui, avant que vous ayez votre…

 

LINDA: De la peinture à l'huile?

 

ADAMUS: Eh bien, en effet. Ouais.

 

LINDA: Ohh.

 

ADAMUS: à l’huile, oui.

 

LINDA: Impressionnant.

 

ADAMUS: Oh, et j'étais un sacré peintre. Je composais en fait toute une symphonie d'une main tandis que je peignais de l'autre. C'était très facile à faire. J'étais un maître peintre en…

 

LINDA: Un maître quoi? (elle rit, Adamus fait une pause)

 

ADAMUS: J'espère que la caméra a un bon aperçu de ce visage (Adamus rit). J'ai dit que j'étais un maître peintre et compositeur (Linda continue de rire). Où va ce spectacle? Nous avons à peine commencé.

 

Quoi qu'il en soit, la question est de savoir à quoi ressemblait Saint-Germain? Revenons à cette première image.

 

LINDA: Ok.

 

ADAMUS: C'était mon ami Moley. Ce n'était pas moi. J'aurais pu m'habiller comme ça, en quelque sorte ...

 

LINDA: Mm hmm.

 

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ADAMUS:… de temps en temps, mais pas moi. Cet aspect ressemble en fait à quelqu'un d'autre que je connaissais très bien - George Washington. Vous voyez les similitudes? Pouvez-vous faire des allers et retours (à l'équipe), vous voyez? Eh, George Washington.

 

Maintenant, George Washington que je connaissais, que j'ai rencontré à plusieurs reprises. C'était un homme brillant, et j'avais un faible pour sa femme, Martha, mais je n'y ai pas touché. Elle aussi avait un faible pour moi, mais nous devions garder nos distances sociales, si vous voyez ce que je veux dire, juste pour… (Linda soupire profondément) Quoi, chère Linda? (Adamus rit) J'essaie d'être divertissant aujourd'hui.

 

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LINDA: Ok

 

ADAMUS: Je dois admettre que j'ai pris quelques leçons de Kuthumi dernièrement. Je sais que parfois mon comportement est plutôt subtil et parfois on pourrait le considérer comme sec et pas si drôle. Donc,  j'ai pris des leçons de Kuthumi et il a dit qu'il faudra un certain temps avant que nous en ayons fini avec elles. Mais il a dit qu'il apprendrait aussi à certains d'entre vous à sortir ce bâton de leur, euh, poche arrière, pour ainsi dire, parce que certains d'entre vous sont beaucoup trop sérieux. Vous devez apprendre à rire. J'apprends à rire et j'apprends aussi à être ridiculisé.

 

LINDA: Oh.

 

ADAMUS: Alors, la question se pose (Adamus rit), la question se pose, à quoi je ressemblais?  À quoi je ressemblais ? Maintenant, il y a des représentations New Age de ce à quoi je ressemble, et pouvons-nous le montrer à l'écran? Ce à quoi l'artiste New Age typique pensait que St Germain ressemblait. Pas trop mal. Un peu comme Jésus.

 

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LINDA: Un peu.

 

ADAMUS: Ouais. Un beau visage rectangulaire, de beaux cheveux, tenant ce calice magique et tout ce qui est, autre chose, et cette lueur autour de moi. Je veux dire, cette lueur. Vous voyez les similitudes? Revenons à cette photo New Age (l'image réapparaît). Voyez. Maintenant, revenez. Vous voyez ?

 

LINDA: Ohh! (alors que l'image revient à Adamus)

 

ADAMUS: Ah. Très sim-… enfin, ok, un peu similaire. Non, cette photo New Age (soupirs), pas tellement. C'est l'idée que quelqu'un se fait de ce à quoi je pourrais ressembler, juste, vous savez, un grand Maître Ascensionné, beau et tout ça. Et ce n'est pas vraiment ce à quoi je ressemblais, mais nous nous rapprochons de plus en plus du look de George Washington, que je déteste vraiment.

 

Alors, je vous demande d'utiliser votre imagination maintenant pendant un moment. Utilisez votre imagination. Allez au-delà des points de données. Allez au-delà de ce que vous pensez être les faits et allez au-delà de l'histoire.

 

À quoi ressemblerait Saint-Germain s'il, eh bien, s'il était autour de nous maintenant? À quoi ressemblerait ce Saint-Germain s'il était ici maintenant, peut-être un peu plus jeune? Imaginons et mettons maintenant cela à l’écran.

 

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Ça ressemblerait un peu plus à ça. De beaux vêtements. Je dois l'admettre. Les cheveux sont un peu plus longs que ce que je porterais normalement. La chemise est un peu trop déboutonnée, mais on se rapproche beaucoup.

 

LINDA: Hmm.

 

ADAMUS: Vous ne le pensez pas, Linda?

 

LINDA: Mmm.

 

ADAMUS: Vous n'aimez pas ce look?

 

LINDA: Ce n’est pas important.

 

ADAMUS: En fait, Shaumbra est en train d'imaginer ça en ce moment même C'est un collectif de Shaumbra et particulièrement de femmes en ce moment - heh! - qui se sentent vraiment dans leurs cœurs, "À quoi ressemblerait-il?" Oui, c'est ça. Oui, c'est ça. C'est ça.

 

Et puis la question se pose, ok, maintenant une fois que je ne suis plus ici avec Shaumbra, dans le groupe ici au Centre de Connexion sur la planète Terre, à quoi est-ce que je ressemble au Club des Maîtres Ascensionnés? Juste ma journée typique, juste à traîner avec mes bourgeons, mes bourgeons ascensionnés. À quoi je ressemble ?

 

Voyons cela un instant. Ressentez cela. Laissez libre cours à votre imagination. Lâchez tous les points de données de ce à quoi vous pensez qu'un Maître Ascensionné devrait ressembler.

 

LINDA: Ohhh!

 

ADAMUS: C'est ce que nous proposons. Oui.

 

LINDA: Bébé.

 

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ADAMUS: Ça se rapproche.  Ça se rapproche. En fait, si proche que nous pourrions avoir des problèmes de droits d'auteur ici.

 

LINDA: Wow!

 

ADAMUS: Parce que c'est - ouais, c'est…

 

LINDA: Et les plumes de paon ont tout à fait raison!

 

ADAMUS: Oh, absolument.

 

LINDA: Oh!

 

ADAMUS: Absolument. Ouais, ouais. Et, au fait - si nous pouvions revenir sur cette photo - je ne porte pas tout le temps des plumes de paon.

 

LINDA: Oh, vous n’en portez pas.

 

ADAMUS: Non, en fait, je le fais rarement, parce que, vous savez, pauvres paons. Cela fait vraiment mal quand on leur arrache les plumes. Mais c'est votre imagination qui est à l'œuvre. C'est une sorte de collectif, et pour une raison quelconque, beaucoup d’entre vous imaginent des plumes de paon tout autour de moi. Je ne sais pas pourquoi. Je ne sais pas ce que cela a à voir avec quoi que ce soit.

ADAMUS: Ça se rapproche.  Ça se rapproche. En fait, si proche que nous pourrions avoir des problèmes de droits d'auteur ici.

 

LINDA: Wow!

 

ADAMUS: Parce que c'est - ouais, c'est…

 

LINDA: Et les plumes de paon ont tout à fait raison!

 

ADAMUS: Oh, absolument.

 

LINDA: Oh!

 

ADAMUS: Absolument. Ouais, ouais. Et, au fait - si nous pouvions revenir sur cette photo - je ne porte pas tout le temps des plumes de paon.

 

LINDA: Oh, vous n’en portez pas.

 

ADAMUS: Non, en fait, je le fais rarement, parce que, vous savez, pauvres paons. Cela fait vraiment mal quand on leur arrache les plumes. Mais c'est votre imagination qui est à l'œuvre. C'est une sorte de collectif, et pour une raison quelconque, beaucoup d’entre vous imaginent des plumes de paon tout autour de moi. Je ne sais pas pourquoi. Je ne sais pas ce que cela a à voir avec quoi que ce soit.

 

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Alors, prenons une grande respiration profonde, et voici à quoi je ressemble en ce moment en train de canaliser Cauldre, un meilleur look je dirais, que celui que nous avions avec Guy Ballard quand il canalisait St. Germain (Linda rit). C'était un bel homme, mais il était ingénieur et, vous savez, il ne savait pas s'habiller pour un rien. Cauldre non plus (Adamus rit), mais de temps en temps, j'insiste pour avoir une tenue. Alors… (Linda fait une grimace) Oh, il va s'en sortir. Il pleurera, mais il s'en sortira.

 

Donc, voici à quoi je ressemble à travers Cauldre, mais si vous voulez vraiment m'imaginer en train de traîner dans le Club des Maîtres Ascensionnés, ça ressemble à ça. Ah oui.

 

LINDA: Oof!

 

ADAMUS: Ah, oui. Je ne porte pas toujours le chapeau, mais ok. Donc assez de cette distraction, de cette intention...

 

LINDA: Très arrogant.

 

ADAMUS: Ouais, eh bien, pas, arrogant. Je ne dirais pas…

 

LINDA: Un Paon!

 

ADAMUS: Revenons à cette photo. Ce n’est pas un cliché arrogant. C'est un cliché viril et audacieux.

 

LINDA: Mmm.

 

ADAMUS: C'est une confiance en soi… ouais, une confiance en soi.

 

Maintenant, je sais que certains d'entre vous gloussent et secouent la tête et se demandent de quoi il s'agit à part - avoir une vie. Avez-vous un peu de sens de l'humour, s'il vous plaît? J'apprends à avoir de l'humour! Kuthumi et moi, nous nous amusons tellement avec humour ces jours-ci. J'apprends à me détendre et à me laisser aller un peu. Mais certains d'entre vous sont là à glousser et à dire: «Eh bien, pourquoi pas - ce sont tous des hommes.» Eh bien, c'est parce que je passe par un homme aujourd'hui. Vous dites: "Qu'en est-il de votre vie en tant que femme?" Bien?

 

LINDA: C'est partout sur Facebook.

 

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ADAMUS: Je sais. Je lis. Je vois (Linda rit). Alors le mois prochain, nous allons faire la vie de St Germain en tant que femmes.

 

LINDA: J'en doute.

 

ADAMUS: Si vous voyez ce que je veux dire. Non, nous le ferons.

 

LINDA: Vraiment?!

 

ADAMUS: Eh bien, absolument. Nous devons le faire. Nous sommes dans cette nouvelle société équitable. Ce ne serait pas juste de ne montrer que des hommes.

 

LINDA: Vous parlez du Shoud d’Avril, n'est-ce pas? Le Shoud du poisson d’avril?

 

ADAMUS: Oh, ce ne sera pas le prochain Shoud. Nous pourrions attendre jusqu'en avril, mais c’est vraiment, vous savez, qui est le vrai fou ici? Alors le mois prochain, nous allons montrer quelques photos de moi…

 

LINDA: Ohh!

 

ADAMUS:… dans mes vies passées de femmes.

 

LINDA: Intéressant.

 

ADAMUS: Et de temps en temps, quand je vais "uni" au Club des Maîtres Ascensionnés genre un peu sans sexe ou tout sexe en fait, totalement sexe, nous allons montrer quelques photos de moi genre ce à quoi je ressemblerais ...

 

LINDA: Intéressant.

 

ADAMUS:… en tant que femme. Cauldre veut s'enfuir tout de suite, et ça me va, vous savez.

 

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Ok, prenons une grande respiration profonde pour (Linda expire de manière audible) le petit peu de non-sens alors que nous commençons aujourd'hui.

 

LINDA: Bien. Bien.

 

ADAMUS: N’était-ce pas amusant?

 

LINDA: Quelque chose comme ça.

 

ADAMUS: Ouais, quelque chose ...

 

LINDA: Ouais, ouais.

 

ADAMUS: Quelque chose comme ça, ok.

 

LINDA: Ouais, quelque chose comme ça.

 

Vous savez, je vais vous rappeler quelque chose. Dans vingt ans, dans 30 ans, les gens vont retourner dans les Shouds comme jamais auparavant, et si tout était sec, ennuyeux et fastidieux? Vous savez qui est ennuyeux? Metatron (Linda rit). Vraiment ennuyeux. Aucun sens de la personnalité humaine, parce qu'il n'a jamais été dans le corps.

 

LINDA:Mmm.

 

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ADAMUS: Vous savez, vous et moi, nous sommes des dieux dans un corps, et nous allons revenir sur ce matériau au fil des ans et les choses qui vont vraiment se démarquer sont nos moments amusants /de plaisir, les moments avec le public , sur lesquels nous reviendrons bientôt. Certains des meilleurs moments de tous les temps - les singeries, le plaisir et la célébration. Vous ne vous souviendrez pas des choses ennuyeuses, dans lesquelles nous allons entrer dans un instan, lorsque nous en aurons fini avec ces choses amusantes. Vous vous souviendrez des choses amusantes. S'habiller, comme je le suis aujourd'hui.

 

LINDA: Moi aussi!

 

ADAMUS: Vous êtes magnifique, comme toujours.

 

LINDA: Merci. Merci.

 

ADAMUS: Oui, comme toujours.

 

LINDA: Quand j'ai réalisé que Cauldre se levait tout chic pour vous, j'ai dit: "Eh bien, je dois me faire plaisir!"

 

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ADAMUS: Absolument. Et vous vous souviendrez des fêtes. Vous vous souviendrez des rires et parfois des larmes. Vous ne vous souviendrez pas des choses sèches. Vous savez, il y a un certain segment de Shaumbra qui veut juste que ce soit sec et droit, sans humour et sans musique et, vous savez, je vais vous expliquer dans un instant pourquoi cela ne fonctionne plus. Cela ne fonctionne tout simplement pas.

 

 

 

ProGnost 2021

 

Alors, avant d’aller plus loin, parlons un instant de ProGnost .

 

Comme Cauldre et Linda l'ont mentionné, il y a seulement trois semaines que nous avons fait ProGnost. Une chose que je veux dire à propos de ProGnost, mais cela s’applique également à tous les Shouds et à tout ce que nous faisons, c’est nous tous. Nous tous.

 

Tobias a introduit le mot «Shoud», qui est un mot ancien, qui signifie «communauté», en fait, et il a dit: «Appelons cela des Shouds, parce que c'est nous tous.» La grande différence est que, avec ce que nous faisons et ce que font la plupart des autres groupes, c'est généralement quelqu'un qui leur donne une conférence ou qui leur donne un cours. L'information leur parvient. Ce n'est pas ce que nous faisons ici. Nous devons le faire ensemble. Cela signifie que nous rassemblons notre communauté dans toutes nos voix, toute notre énergie, et que nous en sortons avec certaines des choses les plus belles et les plus profondes. C'est drôle parfois, très touchant parfois, ennuyeux comme l'enfer à d’autres moments (ils rient), mais c’est nous.

 

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Tout ce que vous entendez à travers Tobias, Kuthumi, Moi, c'est vous, c'est vous. Quand vient le temps où je quitte la scène de Shaumbra, quand je pars, quand je dis mon dernier «Je Suis ce que Je Suis»… (en parlant de façon très dramatique; Linda a la tête entre ses mains) Est-ce que vous priez, pleurez ou riez?

 

LINDA: Tout ça (Adamus rit). Tout. Je ne veux pas penser à ça. Ne continuez pas à en parler.

 

ADAMUS: Vous savez, pendant que Kuthumi m'apprend l'humour, je lui apprends le théâtre. Le théâtre ! Il était un peu opposé à la théâtralité à un moment donné parce qu'il pensait que ce n'était pas authentique. Il a estimé que cela devait toujours être lui dans son véritable état dépressif.

 

J'ai donc dû lui apprendre un peu le théâtre, l'expression dans la vie (parler à nouveau avec passion et théâtralité). Il n’est pas exagéré d’ouvrir son cœur et de partager à tous les niveaux. Certains d'entre vous sont parfois tellement ennuyeux, et je vous demande de vous élever comme le phénix, de vous élever de l'intérieur de vous-même, de tirer la passion, de susciter l'excitation, de tirer le théâtral.

 

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Cela fait du bien à l'âme de chanter la chanson en grand et en entier, plutôt que de garder sa voix au fond de la terre (en chuchotant maintenant), dans le silence et dans l’obscurité.

 

Alors, allègez un peu. Vous en aurez besoin. Vous en aurez besoin si vous prévoyez de rester sur cette planète, un endroit aussi fou qu'il l'est.

 

Où en étais-je, chère Linda? J'oublie si vite. Je me distrais. En fait, je la teste juste pour voir si elle se souvient.

 

LINDA: Eh bien, vous dites que nous devons avoir de l'humour et, vous savez, et vous partez et ...

 

ADAMUS: Oh, oui, oui, oui, oui!

 

LINDA:… phew !

 

ADAMUS: Mon départ, oui. Alors, quand viendra le jour où je quitterai la scène de Shaumbra, et (très passionnément) je dirais mon dernier «Je Suis ce que J'Étais» (ils rient). Je m'amuse (Adamus continue de rire). Kuthumi s’amuse beaucoup. Il y a des gens ici aujourd'hui que je pourrais peut-être vous présenter un peu plus tard.

 

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LINDA:Oups.

 

ADAMUS: Ils sont un peu consternés /effrayés par ce qui se passe ici. Je les ai invités exprès, parce que parfois ils deviennent un peu trop sérieux. Mais quand je partirai, quand je partirai, je vous livrerai Adamus, à vous tous. Chacun d'entre vous sera un Adamus. Adamus, «un putain de nous», nous tous (Adamus rit).

 

Alors, prenons une bonne respiration profonde dans la joie, la beauté et le plaisir de la vie. Et je dois dire, Kuthumi, que ces cours me font beaucoup de bien. Je m'amuse aujourd'hui.

 

ProGnost, c'est nous tous. L’information qui sort, ce n’est pas seulement ce que j’écris pour une conférence. Ce que je fais, c'est puiser dans chacun d'entre vous, puis puiser dans la planète et sentir ce qui se passe, puis j'apporte le message. Mais c’est chacun d'entre nous. Il est fait sur mesure pour vous, parce que c’est vous. C'est vous. C’est nous tous. Ce n’est pas seulement ce dont j’ai envie de parler. Si on me donnait le choix dans ProGnost, je parlerais probablement de musique et d’art - hm, ouais - mais c’est vous. C’est votre voix. C’est donc ce qui est important.

 

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Et quand nous entrions dans la tristesse de l'humanité, c'était difficile. C'était dur pour moi.

C'était vraiment dur pour Cauldre. C'était dur pour notre chère Linda. C'était dur pour vous tous, parce qu'il y a de la tristesse. Et parce que vous en tant que Shaumbra en êtes conscients, vous voulez en entendre parler. Vous voulez comprendre quelque chose que vous pensez ne pas savoir, mais en fait vous le savez. Vous voulez comprendre ce qu'est cette tristesse. Vous demandez depuis un certain temps: «Qu'est-ce que c'est?» et bien sûr, vous faites ce truc de Shaumbra. Vous la retournez à l'intérieur. Vous vous blâmez. Vous pensez que vous ne faites pas du bon travail en venant à la Réalisation ou en étant un Maître réalisé, parce que vous avez cet énorme sentiment de tristesse et vous pensez qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Non! Vous ressentez une tristesse très réelle de l'humanité.

 

Maintenant, l’humanité a déjà traversé des moments de tristesse avant, mais elle n'était pas nécessairement consciente de sa tristesse, et maintenant cela s'est répandu. Vous savez où c'est le plus fort en ce moment ? Chez ceux que nous appelons les nouveaux arrivants. Les nouveaux arrivants, entrent dans le Crimson Circle, mais beaucoup arrivent juste à leur réveil, et ils se heurtent à ce grand mur de tristesse - de larmes, de tristesse - et ils ne peuvent pas le définir.  Et que disent-ils? Ils disent: «Je ne sais pas ce que c'est. Pourquoi est-ce que je me sens si triste? Il doit y avoir quelque chose qui ne va pas. Ou ils blâment leurs guides spirituels ou qui sait quoi d'autre encore.

 

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Non, c'est un nuage qui entoure l'humanité en ce moment. Il a été élevé par le dragon entrant sur la planète. Et c'est un temps de réflexion, un temps où l'on regarde et où l'on se dit: «Qu'avons-nous fait?» Pas dans un jugement, pas dans un blâme, mais : "Qu'avons-nous fait?"

 

C'est une question tellement appropriée à poser. Oui, il y a de la tristesse, mais la nature même de poser cette question: «Qu'avons-nous fait?» nous amène également à nous demander pourquoi nous sommes venus ici en premier lieu, où nous allons à partir d'ici et à examiner la souffrance. Je regroupe tout cela dans une seule grande boîte, la catégorie appelée «souffrance».

 

La planète souffre. Les humains souffrent énormément de leur propre chef et de celui des autres. Ce qui se passe en ce moment, alors que de plus en plus d’humains prennent conscience et qu'il y a de plus en plus de Maîtres de banc de parc réalisés sur la planète, nous jetons un œil et disons: «La Souffrance. Est-ce que c'est quelque chose que nous allons mettre en avant? La souffrance. Est-ce que c'est quelque chose qui nous a servi ? C’est notre énergie. Cela nous a-t-il servi? Doit-elle nous servir de souffrance à l'avenir? »

 

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Vous pouvez tous retracer votre lignée, vos vies passées et trouver plus qu'une abondance de souffrance. Vous pouvez regarder cette vie. Vous pouvez regarder, la semaine dernière, et il y a plus qu'assez de souffrance. Il est temps maintenant que tout ce concept de souffrance sur la planète change. La planète a assez souffert. Vous avez assez souffert. Il y a eu assez de tristesse. C'est pourquoi nous avons, ensemble, abordé le sujet des Larmes de l'humanité dans ProGnost. C'était parfait.

 

C’était parfait pour que les nouveaux disent: «Regardons la souffrance. Y a-t-il un meilleur moyen? Y a-t-il autre chose? Et la réponse est oui, et si vous ne savez pas ce que c'est, chers Shaumbra, saisissez ce sceptre tout de suite. Si vous ne savez pas ce que c'est, arrêtez de penser un instant, saisissez ce sceptre, car il vous mènera toujours dans votre énergie et dans vos résolutions. . Oui, il y a une autre façon de faire que la souffrance.

 

Mais il y a ceux qui sont sur la planète qui sont investis de la souffrance, qui sentent que la souffrance est la volonté de Dieu et la voie de Dieu. Ils ont le sentiment que, sans souffrance, l'humain se corrompra de multiples façons. Ils n'ont aucune confiance ou foi dans la nature humaine elle-même, alors ils disent: «L'humain doit souffrir jusqu'à ce que l'humain apprenne. L’humain doit ramper à quatre pattes et implorer le pardon »à un Dieu qu’il ne connaît même pas.

 

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Mais il est temps maintenant et la souffrance et sa tristesse inhérente commencent à prendre fin sur cette planète. Oh, mais avant de voir le grand changement, vous allez voir plus de souffrance et plus d’appels à la souffrance, mais cela est en train de changer. Et j'aimerais que vous réalisiez une chose maintenant, ce que nous avons fait dans ProGnost, ce que vous avez fait dans ProGnost a mis en lumière une phrase qui disait: «Oui, cela aussi doit disparaître. Il n’y a pas de place sur la planète pour la souffrance. Il y a beaucoup de place pour les blagues et l'humour.

 

Il y a beaucoup de place pour l'amour. Beaucoup de place pour que la lumière brille ouvertement et librement, mais la souffrance? Son heure est venue. C’est pourquoi nous en avons parlé et c’est l’une des grandes choses que nous allons faire en tant que Maîtres réalisés sur la planète, faire briller notre lumière au plus profond de ce qui était souffrance, afin qu'elle puisse ensuite aller vers la sagesse.

 

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Prenons une bonne respiration profonde avec cela. Assez de cette souffrance et de cette tristesse sur la planète. Assez.

 

Comment pouvons-nous y arriver? Cela n’a pas vraiment d’importance, mais il est temps que cela change. C’est peut-être la plus grande - je ne veux pas appeler cela une tâche - mais la plus grande conscience pour ceux d’entre vous qui restent sur la planète en tant que Maîtres réalisés. Nous n’allons pas combattre la souffrance. Nous allons simplement l'éclairer d'une grande lumière. Et quand nous ferons briller cette lumière dessus, cela l'exposera. Et quand cela l'exposera, cela provoquera des troubles - beaucoup de troubles  et de chaos - mais finalement cela finira par atteindre la sagesse.

 

 

Prenons une bonne respiration profonde avec cela.

 

(pause)

 

Mm. Alors, chère Linda, vous savez ce qui m'ennuie vraiment, quelque chose que les Shaumbra font tout le temps et qui m'agace vraiment? Savez-vous ce que c'est?

 

LINDA: Quoi?

 

ADAMUS: "Je ne sais pas."

 

LINDA: Que voulez-vous dire? Que voulez-vous dire par «je ne sais pas»?

 

ADAMUS: "Je ne sais pas." J'ai posé la question, qu'est-ce qui me dérange vraiment - une des choses que Shaumbra, beaucoup de Shaumbra disent tout le temps - et qu'est-ce que c'est?

 

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LINDA: Que voulez-vous dire? Pourquoi cette question ? Si vous ne savez pas, pourquoi l’avez-vous demandé?

 

ADAMUS: Je ne sais pas. Je ne sais pas (les buzzers et les sirènes se déclenchent et Adamus rit).

 

LINDA: Pourquoi?

 

ADAMUS: "Je ne sais pas!"

 

LINDA: Oh!

 

ADAMUS: Non, "je ne sais pas" est la chose que les Shaumbra disent tout le temps et qui m'ennuie.

 

LINDA: Ahh!

 

ADAMUS: Parce que vous savez et c'est le but de tout ce Shoud (Adamus rit). On peut réentendre ce buzzer à nouveau? C'est le moment où vous dites: «Je ne sais pas» (un son de klaxons de voiture). Ouais, c’est comme la version indienne (maintenant des buzzers et des sirènes). Ouais, voilà. Bien. Bien (Adamus rit). Bien. C'est assez. C'est assez. Coupons ça.

 

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"Je ne sais pas." C’est peut-être l’une des choses les plus toxiques que vous puissiez vous dire à vous-même ou sur vous-même: «Je ne sais pas». Soudain, quand vous dites: «Je ne sais pas», cela crée un nuage, un voile tout autour de vous, et cela bloque les réponses, les potentiels, la résolution. Cela bloque tout. «Je ne sais pas» est une déclaration très affirmative, et certains d’entre vous le disent si bien: «Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas!" Vous le dites si bien. C’est la seule fois où vous devenez un peu théâtral, "Je ne sais pas!" et ça me rend fou. C’est comme des ongles, de longs ongles pointus sur un tableau noir - errrrr! - sur le tableau quand j'ai entendu ça, parce que le fait est que vous savez. Vous jouez simplement à un jeu intitulé :"Je ne sais pas". Ouais.

 

Donc, avant nous avions un public, maintenant nous avons Linda comme public. Notre seul spectateur.

 

LINDA: Oh, quelle pression. Pouah!

 

ADAMUS: Nous avions un public ici et c'était tellement amusant quand quelqu'un disait «Je ne sais pas», et j'adorais l'envoyer aux toilettes, dix minutes dans les toilettes tout seul. Certaines personnes aimaient vraiment ça. Mais le fait est que certains ont pensé que c'était grossier et vindicatif de ma part. Pas du tout. J'essayais de faire comprendre que ce "je ne sais pas" est très, très toxique, parce que vous savez, c'est un jeu auquel vous jouez avec vous-même tous les jours.

 

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Il y a des itérations de "Je ne sais pas". C’est comme: «Je ne suis pas sûr» ou «Je ne veux pas vraiment prendre de décision» ou «Ce n’est pas dans ma rémunération» ou toutes ces différentes façons de dire la même chose, «Je ne sais pas». Mais le fait est que vous savez, et il est temps de surmonter /de dépasser le «je ne sais pas». Quand nous aurons de nouveau un public ici - ooh! ooh! ooh! - J'attends juste que cela se produise, parce que ce que nous allons faire, c'est les avoir - nous aurons une chaise spéciale "Je ne sais pas" ici pour eux.

 

LINDA: Ooh!

 

ADAMUS: Peut-être dans le coin. Il n'y a pas vraiment de coin ici, mais nous trouverons une chaise "Je ne sais pas" un peu comme, vous savez, un peu comme - comment appelez-vous cela - envoyer un petit enfant au coin, leur temps de tranquillité ou peu importe. Nous allons avoir une chaise «Je ne sais pas» et tous ceux qui diront cela devront porter le chapeau.

 

LINDA: Oh.

 

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ADAMUS: Le chapeau. J'aimerais vous donner un exemple, parce que ce ne sera pas seulement pour ces Shouds en direct. Ce sera à chaque fois que je surprendrai l’un d’entre vous en train de dire «Je ne sais pas» ou une itération de «Je ne sais pas». C’est ce qui va se passer. Je vais demander à un volontaire de venir à l'avant pour nous montrer cela. Alors, Gaelon, voulez-vous venir ici s'il vous plaît?

 

LINDA: Oh, c'est votre volontaire?

 

ADAMUS: Eh bien, il est assis ici pour Cauldre.

 

LINDA: Oh.

 

ADAMUS: Cauldre est tellement occupé, il ne peut pas être assis sur la chaise ici pour faire des tests de lumière et de son, donc Gaelon a l'habitude de s'asseoir sur la grande chaise ici. Gaelon Tinder, sa mère, Jean Tinder, bien sûr. S'il vous plaît. Non, montez et prenez la grande chaise. Ouais. Enlevez le masque. Je ne peux pas avoir le COVID, je suis un fantôme (Adamus rit). Bien. Bien.

 

Alors, asseyez-vous s'il vous plaît. Êtes-vous un peu nerveux à ce sujet?

 

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GAELON: Oui.

 

ADAMUS: Saviez-vous que vous viendriez ici?

 

GAELON: Non! (il rit)

 

ADAMUS: Non. Quelle surprise, n'est-ce pas?

 

Donc, ce qui va se passer, c'est que vous et moi ayons une conversation dans un Shoud, ce que nous allons faire, et je dis quelque chose comme: "Alors, quelle est la prochaine grande chose qui arrive dans votre vie, Gaelon?" et vous dites ...

 

GAELON: Je ne sais pas (Linda halète).

 

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ADAMUS: Et je vais dire : "Quoi ?? !!" Et la cloche sonne… (pause) la cloche sonne. Nous devons leur donner plus de café là-bas. En parlant de café, Kerri!

 

KERRI: Oh!

 

ADAMUS: Je n’ai pas eu mon café. Je suis ici à jacasser depuis 45 longues minutes. Pas de café. Vous parlez d'une souffrance! Je souffre parce qu’ils ont oublié des choses simples comme une simple tasse de café. On aurait pu penser qu'elle s'en serait rendue compte tout de suite, mais elle est assise là-bas à l'autre table: «Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne pensais pas que vous en vouliez un, Adamus. Vous demandez pour…"

 

Non, vous vous sentez dedans. Vous allez au-delà de l'esprit/du mental et des points de données et vous réalisez: "Oh, Adamus adorerait avoir une tasse de café en ce moment." Où en étions nous?

 

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GAELON: Je ne sais pas.

 

ADAMUS: Bien (ils rient). Et quand vous dites ça et que la cloche sonne… (musique calme pendant un instant) Mais, c'était quoi cette cloche?! Et la cloche… (des klaxons de voiture)… là… ouais, ok (la sonnette d'alarme retentit). C’est un… bon. Et la cloche sonne, puis Linda et moi nous tournons vers… (une variété de buzzers et de sons continuent de se poursuivre) Qui… qu'est-ce qui se passe ici?

 

LINDA: Vous devriez avoir votre sceptre ici, je suppose.

 

ADAMUS: Mon quoi?

 

LINDA: Sceptre.

 

ADAMUS: C’est mon sceptre. Non. C'est juste une partie de l'acte (chuchotant).

 

LINDA: (chuchotant) Ok.

 

ADAMUS: Ok, même si Gaelon ne le savait pas. Et puis, soudain, je suis sous le choc parce que quelqu'un dit: "Je ne sais pas." Quand quelqu'un dit: «Je ne sais pas», je peux juste voir qu'il y a tout à coup un voile autour de lui qui l'empêche de voir tout son potentiel, et alors vous êtes dans la Terre du: «Je ne sais pas». Vous êtes en quelque sorte dans une petite bulle. Vous ne pouvez pas voir ce qui est vraiment tout autour de vous. «Eh bien, je ne sais pas», et soudain : vous ne savez pas. Vous passez d’être un être intuitif incroyable à un être «je ne sais pas». Et alors, Linda fera quelque chose. Allez-y, Linda.

 

LINDA: Oh! Oh! C'est le moment ...

 

GAELON: Je ne sais pas.

 

ADAMUS: Bien (ils rient). Et quand vous dites ça et que la cloche sonne… (musique calme pendant un instant) Mais, c'était quoi cette cloche?! Et la cloche… (des klaxons de voiture)… là… ouais, ok (la sonnette d'alarme retentit). C’est un… bon. Et la cloche sonne, puis Linda et moi nous tournons vers… (une variété de buzzers et de sons continuent de se poursuivre) Qui… qu'est-ce qui se passe ici?

 

LINDA: Vous devriez avoir votre sceptre ici, je suppose.

 

ADAMUS: Mon quoi?

 

LINDA: Sceptre.

 

ADAMUS: C’est mon sceptre. Non. C'est juste une partie de l'acte (chuchotant).

 

LINDA: (chuchotant) Ok.

 

ADAMUS: Ok, même si Gaelon ne le savait pas. Et puis, soudain, je suis sous le choc parce que quelqu'un dit: "Je ne sais pas." Quand quelqu'un dit: «Je ne sais pas», je peux juste voir qu'il y a tout à coup un voile autour de lui qui l'empêche de voir tout son potentiel, et alors vous êtes dans la Terre du: «Je ne sais pas». Vous êtes en quelque sorte dans une petite bulle. Vous ne pouvez pas voir ce qui est vraiment tout autour de vous. «Eh bien, je ne sais pas», et soudain : vous ne savez pas. Vous passez d’être un être intuitif incroyable à un être «je ne sais pas». Et alors, Linda fera quelque chose. Allez-y, Linda.

 

LINDA: Oh! Oh! C'est le moment ...

 

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ADAMUS: Linda, savez-vous ce que vous êtes censée faire ici?

 

LINDA: Damnation, non! (elle rit)

 

ADAMUS: Non, "Je ne sais pas." (Ils rient) Linda va soudainement sortir avec cette belle création, conçue par Cauldre, exécutée et cousue par Jean Tinder, votre maman, et vous porterez le «Je sais mieux». Prenons une photo de ça, le chapeau :"Je sais mieux" (Linda applaudit). Beau gros plan. Bien. Et tournez un peu la tête pour que la caméra puisse voir, ou mieux encore, déplacez la caméra. Ok, "Je sais mieux."

 

LINDA: Et voilà.

 

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ADAMUS: Merci, merci, merci. «Je sais mieux» a plusieurs significations. Tout d'abord, «je sais mieux. Je sais beaucoup de choses et je sais mieux que de dire: «Je ne sais pas.» »Nous devrons peut-être acheter beaucoup de ces chapeaux, et en fait, nous devrions en faire fabriquer quelques-uns. Si vous pouviez mettre – que quelqu'un mette ça sur sa liste. Qui est responsable de cela? «Je ne sais pas» (d’une voix moqueuse). Quelqu'un a mis cela sur sa liste. Nous allons faire confectionner, coudre, broder tout un tas de chapeaux et nous les distribuerons. Mais je pense que ce serait mieux…

 

LINDA: Adamus, qui en voudrait un?!

 

ADAMUS: Je ne sais pas.

 

LINDA: C'est une punition - oh !! (Linda rit).

 

ADAMUS: Je l'ai fait intentionnellement (les cloches et les buzzers sonnent et Adamus rit).

 

LINDA: (continuant de rire) Voilà! (elle met le chapeau sur Adamus et continue de rire pendant que les cloches et les buzzers continuent de sonner)

 

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ADAMUS: Je l'ai fait intentionnellement, Linda. Vous savez ! Merci Gaelon pour le mannequinat, pour avoir posé pour le nouveau chapeau «je ne sais pas».

 

GAELON: Tout le plaisir est pour moi.

 

ADAMUS: Vous savez, cela ressemble un peu à un bonnet d'âne. Je me demande s'il ne devrait pas plutôt ressembler à un chapeau de sorcier avec un bord dessus. Je pense que Jean avait suggéré cela au départ. Merci pour le café, Kerri. Merci.

 

KERRI: Bien sûr.

 

ADAMUS: (il prend une gorgée d'autre chose pendant que Linda apporte le café). Ahh! Ooh!

 

LINDA: Et voilà.

 

ADAMUS: Ce n'est pas du café. C'est …

 

KERRI: Je n'ai pas fait ça!

 

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LINDA: C'est du kombucha. (Le kombucha est une boisson fermentée légèrement acide.)

 

ADAMUS: Je pense que c'est… kombucha (Adamus rit). Je croyais que c'était de l'urine de raisin.

 

Donc, en tout cas, chers Shaumbra : «Je ne sais pas. Je ne sais pas." Je ne veux plus entendre ça, parce que vous savez. Le fait est que vous savez tout. Vous ne savez tout simplement pas que vous le savez.

 

 

L’Amour

 

Maintenant, commençons à rassembler tout cela. C'est notre Shoud de la Saint-Valentin. Vous voyez tous les cœurs? Si vous deviez vous demander: «Pourquoi y a-t-il tous les cœurs et toutes les roses aujourd'hui? Je ne sais pas." C’est parce que la Saint-Valentin est dans, quoi, huit jours. C'est pour ça.

 

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Maintenant, la Saint-Valentin est la célébration de l’amour, même si Saint-Valentin était un martyr. Vous comprenez ? Il a souffert et d'une certaine manière, cela s'est transformé en une célébration de l'amour. C’est vraiment bizarre. Je me demande pourquoi ils font ça?

 

Vous êtes censée dire, Linda : "Je ne sais pas." Revenez ici. Je ne vais pas mordre.

 

LINDA: C'est contre ma religion. Je ne peux pas dire ça.

 

ADAMUS: Ok. Alors, elle ne le dira plus. C'est une bonne chose. Elle apprend.

 

Saint-Valentin était un martyr à l'époque, quoi, vers l’an 269 après JC, mais cela s’est transformé en une célébration de l’amour. Comment cela est arrivé, je ne sais pas. Donc, notre Saint Valentin est maintenant une fête de l'amour et c'est une période où, oh, les jeunes amoureux et les gens font des actes d'amour, offrent des fleurs. Je vous les donne, Linda, parce que je vous aime. Elles pourront être à vous...

 

LINDA: Oh, merci.

 

ADAMUS:… après le Shoud.

 

LINDA: Vous êtes si attentionné.

 

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ADAMUS: L'amour. Qu'est-ce que l'amour. Qu'est-ce que l'amour? "Je ne sais pas." (Moqueur, ils rient) Vous ne savez pas combien de fois j'ai entendu ça. Si j'ai un petit problème ici, si j'ai une sorte de réaction à cela, c’est parce que je l'ai entendu tellement de fois de la part de vous tous.

 

Vous savez, lorsque vous m'appelez la nuit et que je descends et que nous bavardons et que vous me posez toutes ces questions, vous savez que ma réponse typique est: «Quelle est la réponse? Qu'en pensez-vous ?

 

"Je ne sais pas. C’est pourquoi je vous ai appelé. »

 

Mais je ne vais pas vous donner la réponse. Je vous rappelle que vous avez les réponses, mais au moment où vous dites: «Je ne sais pas! Je ne sais pas,  je ne sais pas, "je dois juste reculer. Je dois vous laisser être ce genre de bain septique dans lequel vous êtes avec le «je ne sais pas». Il n'y a rien que je puisse faire. Je ne peux pas vous donner la réponse et vous insistez sur le «je ne sais pas», alors nous restons assis là, et nous parlons de choses stupides pendant un moment, parce que nous n’arrivons pas vraiment au sujet. Les «je ne sais pas», ils sont toxiques à ce stade de votre développement, de votre maîtrise. Ils sont toxiques.

 

Revenons donc au sujet de l’amour. Qu'est-ce que l'amour?

 

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Qu'est-ce que l'amour? C’est un sentiment. C’est un sentiment et l’amour est un Sens. Littéralement, c'est un Sens. C'est maintenant un Sens angélique. Ce n’était pas le cas auparavant. Il n’y avait d’amour nulle part, nulle part, jusqu’à ce que les humains le créent. Ensuite, il est devenu ce nouveau Sens que tous les anges doivent finalement expérimenter. Mais qu'est-ce que l'amour?

 

Quand nous avons fait de l'amour un Sens officiel, au même titre que les 200 000 autres Sens, nous avons fait de l'Amour un Sens officiel; nous avons eu ce genre de rassemblement, cette rencontre et quelqu'un a dit: «Je propose que l'amour soit l'un des Sens angéliques.»

 

Il y a eu beaucoup de murmures et de discussions et finalement quelqu'un à l'autre bout de la salle a dit: «Eh bien, qu'est-ce que l'amour? Qu'est-ce que l'amour?" et la salle est devenue silencieuse. Tout le monde a senti, parce que, voyez-vous, la plupart des êtres angéliques n’avaient jamais senti l’amour, ne savaient rien de l’amour.

 

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Alors, ils ont dit: «Appelons un humain. Faisons venir un humain dans notre réunion, un humain qui a fait l'expérience de l'amour, et faisons-lui décrire l'amour afin que nous puissions voter sur la question de savoir si ce sera un nouveau sens officiel, un sens angélique". Alors, ils sont allés chercher un humain. Ils l'ont tué, je veux dire, pour l'amener jusqu'ici, mais finalement, ça n'a pas eu d'importance. Mais ils ont amené un humain dans la pièce et ont dit: «Hé, Casanova, qu'est-ce que l'amour?»

 

Et Casanova réfléchit un instant, il était aussi théâtral, et il a dit: «L’Amour. Je ne peux pas vous parler d'amour tant que vous n'en avez pas fait l'expérience. Et je l'ai vécu 5000 fois et plus, mais je ne peux pas vous parler d'amour. Ce ne sont pas les émotions érotiques et les sensations sensorielles du corps. Ce n'est pas de l'amour. C'est une réaction à l'amour. Mais qu'est-ce que l'amour? Qu'est-ce que l'amour? C’est tellement difficile à expliquer quand on n’en a jamais fait l’expérience, mais je peux vous dire que l’amour est de loin le plus grand de tous les sens que vous n’aurez jamais. Mais vous devrez passer par la Terre pour faire l'expérience de l'amour, et une fois que vous l'aurez fait et que votre cœur s'ouvrira à l'amour et même une fois que votre cœur a été vaincu par l'amour, alors nous pourrons parler de ce plus grand de tous les sens.

 

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Dans toute la salle, il y avait un regard sur les visages des anges: «Qu'est-ce que … vient-il de dire? Quoi?!" Mais le vote a quand même eu lieu et, bien sûr, moi, comme je le fais, je les ai tous encouragés à voter. Je leur ai dit: «Faites-moi vraiment confiance. Un jour, vous descendrez sur Terre vous aussi, vous prendrez forme humaine et vous ferez l'expérience de cette chose qu'on appelle l'amour. Mais, comme Casanova, je ne peux pas vous en parler. Je ne peux pas le décrire. Je ne peux pas le définir, mais il est plus réel que les roches de la Terre, que les eaux de la Terre. Il est plus réel que les oiseaux qui volent dans le ciel. Il est plus réel que les incendies qui balayent le … »Je m'emporte ici, mais j'aime devenir un peu théâtral.

 

L'amour est très, très réel. Quand on leur pose des questions sur l'amour, la plupart du temps, les humains ne font que réfléchir. «L'amour, hm.» Ceux que vous avez aimés. Le sentiment d’être aimé, que ce soit au sein de votre mère, que ce soit au sein de votre petite amie, n’importe pas. C'était à propos de ce sentiment… (Adamus rit) Je jure que Kerri a mis quelque chose dans mon café, parce que je n'étais pas comme ça jusqu'à ce que je commence à boire du café.

 

KERRI: C'est ce que j'ai fait.

 

LINDA: Continuez. C'est intéressant.

 

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ADAMUS: Alors, mon amour. Revenons à nos moutons. L'amour. Oui, qu'est-ce que l'amour? Vous commencez généralement par vous sentir de nouveau à l'époque de l'amour. Ah, la grandeur de l’amour, ou les amours que vous avez actuellement. Mais essayez de le décrire, c'est comme si vous lui rendiez presque un mauvais service. Essayer de le définir, c'est comme essayer de le mettre en bouteille et de l'emprisonner. L'amour vient du cœur.

 

Alors pourquoi pensez-vous, Linda, pourquoi pensez-vous que l'amour est associé au cœur?

 

LINDA: Parce que cela ne vient pas du cerveau.

 

ADAMUS: C’est une bonne réponse. Je pensais qu’elle allait dire: «Je ne sais pas.» Elle apprend mieux.

 

Cela ne vient pas du cerveau. C’est en fait une réponse très judicieuse/ très sage. Donc, ça ne vient pas de la tête. Cela vient du cœur et le cœur est le vaisseau qui, eh bien, quand vous êtes amoureux, vous le ressentez, n'est-ce pas, dans votre cœur. Certains le ressentent dans leurs tripes, mais vous ne ressentez pas vraiment l’amour dans le cerveau, n'est-ce pas? C’est dans le cœur. C'est l'endroit où ce rythme de vie se produit, comme nulle part ailleurs dans votre être. Cette pulsation du cœur, ce désir de vivre et d'expérimenter. Le cœur ne crée pas ce désir, mais il réagit à ce désir de vivre au rythme de la vie. C’est pourquoi le cœur.

 

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Revenons à notre point. L'amour est un sentiment sensoriel, et les êtres angéliques ont voté et ont dit: «D'accord, nous allons accepter l'Amour comme l'un des nouveaux Sens. Nous ne savons pas vraiment pourquoi, mais les humains semblent tous l'aimer. Alors, oui, faisons-le. »

 

L'amour est un Sens, et le Sens n'a aucune donnée. Aucune donnée. C’est pourquoi, lorsque vous pensez à l’amour, c’est un sentiment qui vous envahit. Ce ne sont pas des données sur le petit ami que vous avez eu il y a 28 ans, ni le nombre de fois où vous vous êtes embrassés, ni le nombre de hamburgers que vous avez mangés ensemble. Ce ne sont pas des points de données, n'est-ce pas? Et ce serait vaincre l'amour s'il ne s'agissait que d'une série de points de données. L'amour est un sentiment.

 

C’est un Sens. Il va bien, bien au-delà de ce que l'esprit/le mental pourrait utiliser pour le définir. Et c'est ainsi que toute la vie devrait être.

 

 

La Prise de Décision Humaine

 

 

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L'histoire est une série de points de données qui ne sont généralement pas précis. Ma photo, par exemple, était celle d'un de mes amis. L’histoire est une série de nombreux points de données qui ne sont pas précis, mais pourtant le monde semble s'accrocher à des points de données de nos jours. Eh bien, c’est parce que c’est la façon dont l’esprit/le mental pense. Avez-vous votre petit truc d'écriture, Linda?

 

LINDA: Bien sûr.

 

ADAMUS: Oh, bien. Je lui demande de mettre en blanc un – d’écrire un - hein! - d’écrire quelques mots…

 

LINDA: Oh, bon sang.

 

ADAMUS: (riant)… sur le tableau. Je vais lui demander d’écrire - c’est Kuthumi qui interfère/qui se mêle de tout. Je vais lui demander d’écrire quelques points sur le tableau ici. Alors, voici comment pense l'esprit/le mental humain. Des données, des données, des données … des émotions...des…

 

LINDA: Whoa, whoa, whoa.

 

ADAMUS:… décisions

 

LINDA: Je les ai faites à l'envers (Adamus rit).

 

112

 

ADAMUS: Des données, données, données, émotions, décisions. C'est un schéma - non pas que vous ayez seulement trois points de données - mais cela signifie une série de points de données qui mènent alors à une émotion. Toutes les décisions humaines sont basées sur l'émotion. L’émotion est le point de décision, puis vous prenez enfin une décision et dites que vous étiez vraiment intellectuel ou que vous avez vraiment traité beaucoup de choses, mais tout est basé sur l’émotion. Et il y a ceux qui m'ont défié dans le passé et qui ont perdu sur ce défi, parce que chaque décision humaine est basée, en fin de compte, sur l'émotion.

 

Oui, vous collectez des données, beaucoup de données, et c'est l'esprit/le mental qui est à l'œuvre. Et il n'y a rien de mal avec l’esprit/le mental, mais c’est ainsi qu’il fonctionne, il collecte des données. Et puis ces données sont évaluées par l'esprit/le mental, qui ne comprend vraiment pas les vrais Sens, ou la sensualité ou les sentiments sensoriels, et l'esprit/le mental les évalue en fonction de l'émotion, et prend ensuite une décision. Et la décision est prise, je dirais, dans l'obscurité ou dans la grisaille au moins, sans le plein bénéfice des vrais Sens, des vrais Sens.

 

Nous en avons déjà parlé, oui, mais il est maintenant temps que nous le fassions. Nous en avons déjà parlé dans le passé comme une sorte de préambule à ce que nous allons faire maintenant, mais maintenant nous entrons dans la vie super sensorielle.

 

113

 

Revenons un instant en arrière. Des données, données, émotions, décisions.

 

Sentez-vous en cela pendant un instant. Prenez une bonne respiration et imaginez, si vous le voulez, avec moi. Imaginez que vous entrez dans une pièce et qu'il fait totalement noir. Totalement sombre. Vous ne savez rien de la pièce avant d'ouvrir la porte, d'entrer et de la refermer derrière vous. Il fait totalement noir. Il n'y a rien là. Instantanément, l'esprit/le mental, à travers ses sens physiques limités, commence à chercher des données. «Le sol est-il froid? Est-il fait de pierre ou est-il recouvert de moquette? » Des données, des données, des données.

 

Et puis vous criez dans l'obscurité totale. Vous ne pouvez rien voir. Vous criez dans l'obscurité totale et il y a un écho qui vous aidera à déterminer la taille de la pièce, parce que vous ne savez rien de la pièce, de sa taille, de sa hauteur, de son mobilier, de rien. Vous pourriez marcher encore deux mètres et tomber dans une fosse profonde remplie d'alligators pour autant que vous le sachiez. Vous commencez à collecter des données. Vous sifflez un peu et vous essayez d'ajuster vos yeux en espérant qu'un peu de lumière dépasse l'obscurité pour vous aider à déterminer.

 

118

 

Des données, des données, des données, des données, c'est ce que vous recueillez ici en ce moment. Et maintenant, vous arrivez au point où il n'y a presque plus de données du tout. Tout ce que vous savez, c'est que vous marchez sur un sol et tout ce que vous savez, c'est que quelque chose absorbe le son, donc il n'y a pas d'écho, mais cela ne vous aide toujours pas à déterminer la taille ou la nature de la pièce. Vous n'êtes encore tombé sur rien, donc vous ne savez même pas s'il y a des meubles, des murs ou autre chose. Des données, des données, des données, des données.

 

Et maintenant, vous prenez une décision émotionnelle, "Je suis en danger." Heh ! C’est ainsi que l’esprit/le mental fonctionne: «Je suis en danger». C’est une réaction émotionnelle - «Je suis en danger» - et peut-être que vous l’êtes, peut-être que vous ne l'êtes pas, mais c’est ce que les points de données aident les émotions à déterminer.

 

Et maintenant, il est temps de prendre une décision, car les émotions ont dit: «Danger, grand danger potentiel ici. Vous ne devriez pas être ici», et la décision est «Fuyez comme l'enfer ». Essayez de trouver la porte par laquelle vous êtes entré. Espérons que vous ne vous êtes pas trop éloigné de la porte et, en réalité, vous ne vous êtes pratiquement pas éloigné de cette porte, parce que dans votre collecte de données, dans votre décision émotionnelle, vous avez peur d'aller plus loin.

 

114

 

Mais qu'en serait-il si cette pièce contenait votre divinité ? C'était simplement que votre esprit/votre mental ne pouvait pas comprendre la divinité, parce qu'il n'avait aucune expérience préalable avec elle. Il ne sait pas quoi chercher. Il ne sait pas comment utiliser ses points de données pour détecter une quelconque divinité. Et si cette pièce était remplie de votre divinité, mais que maintenant, vous avez pris la décision de vous enfuir en espérant trouver la porte, parce que vous avez peur de ce qui pourrait arriver?

 

C'est la manière typique de la pensée humaine. Je l'ai simplifié et réduit, bien sûr, et certains objecteront que je l'ai rendu beaucoup trop simple, mais non, c'est en fait ainsi que cela fonctionne. C'est ce que vous avez à l'écran. Des données, des données, des données, des émotions, des décisions et vous traversez la vie comme ça, tous les jours

 

Et quand vous rencontrez des pièces sombres - une métaphore- une métaphore pour signifier quelque chose de nouveau dans votre vie - c'est généralement la décision de courir ou du moins de se retenir, ou l'autre décision souvent prise est «Obtenons plus de données. Restons ici un moment et voyons si quelque chose se passe », mais en tenant une main sur la porte pour pouvoir sortir le plus rapidement possible. Il est temps d’aller plus loin.

 

115

 

Dans cette pièce maintenant, cette pièce représentant tant de nouvelles opportunités, cette pièce représentant votre divinité, cette pièce représentant votre énergie et tous vos potentiels; dans cette pièce maintenant, arrêtez-vous. Vous arrêtez la collecte obsessionnelle de données, agrippez-vous à votre sceptre, non pas comme une arme, pas comme la réponse, mais comme un rappel que vous savez. Vous savez.

 

121

 

 

Si nous devions faire une pause ici, vous vous tenez dans la salle obscure après avoir collecté maintenant peut-être des centaines de points de données et votre réaction émotionnelle est une réaction de peur, peut-être que vous n'avez pas encore pris de décision et je viens vers vous et je vous dis: « Alors, qu'allez-vous faire ? »Ensuite, vous dites: «Je ne sais pas» et je vous gifle très fort, très fort. Je vous mets au sol, et vous réalisez que le sol est assez dur. C’est un autre point de données: «Ne tombez plus si souvent sur le sol».

 

Ensuite, je vous jette contre le mur et vous réalisez que le mur est vraiment très dur aussi. Et… eh, je plaisante! Mmm, peut-être pas tant que ça.

 

116

 

À ce stade, vous ne dites pas «je ne sais pas». Quand je m'approche et que je dis: «Qu'est-ce que vous allez faire maintenant? Vous êtes dans cette pièce sombre. Vous n'avez aucune idée de ce que c'est. Vous avez peur. Vous avez fait pipi sur vous-même, vous aviez tellement peur. Qu'est-ce que vous allez faire?" Vous dites: «Je vais attraper ce sceptre tout de suite avant de faire autre chose de mal (Adamus rit). Je vais attraper ce sceptre et ce sceptre va me montrer le chemin. " Et vous sortez de votre esprit/de votre mental. Vous arrêtez de penser et vous êtes conscient de vos émotions, mais elles ne vous submergent pas. Et vous vous abstenez de prendre une décision humaine basée sur des données, des données, des données.

 

Vous tenez ce sceptre et vous le laissez vous transporter maintenant dans les potentiels, dans votre énergie. Et quand vous entrez dans vos potentiels, ce n’est pas que la réponse est là. Pas comme «La réponse», vous savez; toutes les réponses, tous les potentiels, et vous serez instantanément attiré par le potentiel qui contient ce que vous appelleriez le plus grand niveau de satisfaction, de sensualité, le moins de souffrance, le moins de résistance.

 

122

 

Vous y serez automatiquement guidé. Ne remettez jamais cela en question. Jamais, jamais, jamais ! Ne doutez pas /Ne remettez pas en question le fait que vous serez automatiquement guidé vers le potentiel le plus élevé pour vous. Pas pour la planète, ni pour personne d'autre, ni pour votre mère, ni pour votre chien, mais pour vous. Ne remettez pas en question, parce que c'est un travail de l'esprit/du mental. C’est le dénigrement de l’esprit/du mental. Il n'y a pas de temps, il n'y a pas de place pour ce questionnement. Cela demande une énorme confiance - pas vraiment. Heh ! Non, pas vraiment. C’est cette idée fausse: «Oh, c’est une confiance énorme.» Non, ce n'est pas le cas. Tout cela est à vous. Tout est votre énergie. Tout est votre potentiel, toutes vos réponses. Ce ne sont pas des guides spirituels. Oh oh oh! Ce n’est rien de tout cela. C’est vous qui vous laissez transporter ou être amené dans tous vos potentiels - la conscience.

 

Et pendant que vous vous accrochez au sceptre, qui n'est qu'un rappel; lorsque vous vous accrochez à ce sceptre, il vous emmènera à travers les couches et les couches du «je ne sais pas» toxique que vous avez mis là dans le passé. Il tranchera à travers ce voile et vous amènera à la réponse. Et ensuite, vous vous taisez. Taisez-vous. Je dis cela parce qu'il y a une telle tendance pour l'esprit humain à commencer à rouler et à devenir obsédé et à poser des questions, à s'inquiéter et à avoir peur et à dire: «Eh bien, nous ferions mieux de collecter plus de données et de faire plus de recherches et d'essayer de comprendre, et ensuite nous devons nous asseoir et équilibrer les chances et ce qui est bon et mauvais. Ensuite, nous devons évaluer /valider… ». La ferme! Vous êtes dans votre propre énergie, et cette énergie ne travaillera jamais, jamais contre vous. Elle ne travaillera jamais contre vous.

 

119

 

Et puis vous êtes là, dans cette obscurité, dans ce néant, et pendant un moment, oui, l'esprit/le mental va sauter/ se précipiter et dire: «Qu'est-ce que c'est? Ce n’est qu’un grand abîme sombre et je vais être dévoré par le monstre des abysses. » Et à peu près à ce moment-là où vous avez transcendé «les données, les données, les données, les émotions», tout à coup, c'est tout simplement la connaissance, et vous vous dites: «Dang! Je le savais! Dang! J'ai toujours su ça! Pourquoi est-ce que j'ai fait tout ce truc de "données, données, données, émotions" du mental? "

 

Et puis au moment où vous pensez cela, au moment où vous posez cette question, eh bien, maintenant vous êtes dans votre énergie. La réponse vient «"Parce que vous le vouliez, parce que vous pensiez que c'était la voie à suivre", et ensuite vous vous dites: «Je me demande si je pourrai jamais aller au-delà de ça», et la réponse est juste là, cette connaissance, «Eh bien, absolument, idiot. Je veux dire, c'est votre énergie qui vous parle. Elle vous parle comme ça parfois. Elle dit : «Ouais, nous devrons y revenir.» Arrêtez d'y penser. Arrêtez de vous en inquiéter. Vous êtes là. Tenez ce sceptre. Il vous transporte au milieu de votre énergie, qui est tout votre potentiel, et le potentiel qui veut vous servir le plus dans la plus grande joie est celui dont vous serez immédiatement conscient. En fin de compte, vous serez conscient de tous les autres potentiels, mais vous direz: «Ehh, pas tellement intéressé, parce que ceux-là souffrent. Cela prendrait trop de temps. Ceux-là - je ne sais pas ce que c'est. Mais non, je veux celui de la joie et de l'aisance et plus de souffrance. Plus de souffrance.

 

123

 

Prenons une respiration profonde, chers Shaumbra. Oui, je m'amuse aujourd'hui.

 

Cela fait si longtemps maintenant que je travaille dans ce vieux style, un style très linéaire de «données, données, données, émotions», parfois une décision, mais souvent «je ne sais pas». Vous savez, vous vous posez parfois ces questions: «Que dois-je faire? Où devrais-je déménager?

 

Dois-je trouver un amoureux? Qui suis-je? Combien de temps vais-je vivre? Que dois-je faire pour prendre soin de ma santé? » Ensuite, vous commencez à essayer d'obtenir des points de données. Vous allez sur Internet. Vous regardez. Vous faites des recherches. Arrêtez ça ! Je ne dis pas que la recherche est mauvaise, mais pour vos grandes questions sur votre vie, où vous allez ensuite, que faire, comment surmonter un problème physique, comment permettre  la richesse dans votre vie, toutes ces choses, arrêtez les "données, données, données, émotions", parce que, voyez-vous, l'essentiel est que les décisions sont basées sur les émotions et que l'émotion est généralement la peur, le manque ou la souffrance.

 

Pas étonnant que vous répétiez sans cesse la même chose avec la même souffrance, avec le même résultat tout le temps. Allons au-delà de cela. Tenez ce sceptre et laissez-le vous transporter dans votre propre énergie où toutes les réponses sont là, et où la réponse avec la plus grande joie et la plus grande grâce va être si évidente pour vous, si claire pour vous. Elle ne viendra pas à vous en disant: "Eh bien, je suis sûr de devoir choisir ceci ou cela." Cela va être si clair et cela vous frappera comme une grande connaissance. (NDI : dit autrement, une évidence absolue)

 

124

 

Prenons une bonne respiration profonde.

 

Il est temps que nous changions de méthode, que vous changiez la façon dont vous obtenez des réponses, que vous preniez de vraies décisions dans votre vie. Il est temps que nous nous ouvrions à tous les potentiels et ils sont là, et c’est aussi simple que de tenir ce sceptre et de se taire et de cesser d’être obsédé par l’esprit/le mental.

 

Il vous transportera directement dans votre énergie, et plus vous serez silencieux, pendant quelques instants, quelques précieux instants, il vous montrera que dans cette grande et grande pièce sombre dans laquelle vous venez d'entrer, qui est peut-être un symbole d'une question qui se pose peut-être dans votre vie; dans cette grande et grande pièce sombre, si vous restez silencieux pendant un moment, si vous arrêtez d'essayer de collecter des points de données et si vous ne vous lancez pas dans des décisions émotionnelles, la réponse sera là.

 

126

 

 

Merabh  – Vous Savez Déjà

 

Prenons une bonne respiration profonde, mettons de la musique et faisons cela avec un merabh.

 

(la musique commence)

 

Vous savez déjà. Vous savez déjà. C’est pourquoi il est offensant de dire des choses comme «Je ne sais pas», parce que c'est ce que devient votre réalité.

 

Vous dites «je ne sais pas» - (claquement!) - l’énergie va vous donner cela. Vous mettez vraiment un voile autour de vous et puis vous ne savez pas, et vous ne saurez pas, et vous ne pourrez pas savoir.

 

Au lieu du «je ne sais pas», pouvez-vous me donner ce chapeau, Linda? (le chapeau «Je sais mieux»)

 

LINDA: Bien sûr.

 

ADAMUS: Au lieu de ce «je ne sais pas», vous savez (elle le lui tend), et vous savez mieux que quiconque.

 

Vous remarquez que je ne le porte pas (Adamus rit). Je ne veux pas abîmer les cheveux clairsemés de Cauldre (Adamus rit). Pfft!

 

LINDA: Oof!

 

ADAMUS: Pfft! Kuthumi m'apprend l'humour.

 

LINDA: Oof!

 

127

 

ADAMUS: Je ne suis pas encore parfait dans ce domaine! Si, je le suis.

Je sais mieux. Je sais mieux que de dire: "Je ne sais pas."

«Je ne sais pas» est toxique.

 

Je sais mieux que quiconque ce qui est bon pour moi.

 

Je sais mieux que de simplement collecter des points de données et d'essayer de prendre une décision sur cette base. Les points de données sont intéressants et ils vont bien dans certains cas, mais pas là où va votre vie. Les points de données sont parfaits /sont utiles pour comprendre comment allumer votre lave-vaisselle. C’est à cela que servent les points de données, à allumer votre lave-vaisselle. Certains d’entre vous ne l’ont toujours pas compris. Cela n’a pas d’importance. Vous y arriverez.

 

Les points de données ne sont pas destinés à diriger la vie et, vous voyez, la vie suit cette voie en ce moment. De plus en plus de points de données.

 

Les ordinateurs. Beaucoup de points de données, des trillions de points de données chaque nanoseconde. Ce n’est pas ce qui fait la vie. Ce n’est pas ce qui ouvre le cœur et apporte l’amour et l’épanouissement.

 

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Les points de données - une série de points de données - ne permettent pas de prendre des décisions saines, parce que si vous utilisez une série de points de données pour essayer de prendre des décisions concernant votre vie, votre bonheur et votre souveraineté, les points de données vont simplement demander plus de points de données, et ensuite ces points de données vont demander plus de points de données, et vous n'entrerez jamais dans votre propre énergie.

 

Prenez une bonne respiration profonde.

 

C'est aussi simple que de tenir ce sceptre - c'est le vôtre, c'est votre rappel - et de le laisser éclairer/ illuminer cette pièce sombre.

 

Vous pourriez passer toute votre vie à chercher dans l'obscurité, dans cette pièce, en essayant de collecter /de recueillir suffisamment de points de données pour déterminer à quoi elle ressemble et de quoi cette pièce est composée, et même alors, ce ne sera pas précis, tout comme l'histoire n'est pas vraiment précise. Il s'agit d'une série de points de données. Il y a une part de vérité, oui, mais ce n'est pas vraiment exact.

 

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Votre perception que vous avez de vous-même est basée sur de nombreux points de données. Vous appelez cela votre passé, et ce n’est pas vraiment qui vous êtes. Elle est également basée sur de nombreuses décisions émotionnelles qui sont bien en deçà/loin de votre véritable potentiel.

 

Vous savez mieux. Toutes les réponses sont là.

 

Faisons cela. Contournons la manière traditionnelle de faire des choix et de prendre des décisions, la manière traditionnelle de comprendre la réalité.

 

Accrochez-vous à ce sceptre et laissez-le vous emmener dans les domaines de votre potentiel. Ces champs semblent s'étendre à l'infini. De magnifiques, magnifiques champs de potentiel, un peu comme des champs de fraises.

 

Et la seule baie, le seul fruit qui est vraiment la passion de votre cœur, se présentera /se manifestera, et ce sera tellement évident, au-delà de tous les autres. Arrêtez de trop penser. Arrêtez de dire "Je ne sais pas."

 

Arrêtez d'essayer d'utiliser des points de données pour sortir de la dualité. Cela ne fonctionne pas.

 

«Les données, les données, les données, les émotions, les décisions» ne fonctionnent pas.

 

Il y a une réalité incroyable dans laquelle nous allons entrer, dans laquelle vous allez entrer, et cela peut sembler un peu effrayant au début, parce que vous êtes tellement habitué à être guidés/dirigés par des points de données, à faire des recherches.

 

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Nous allons aller au-delà de cela et entrer dans un monde véritablement super sensoriel ou, comme j'aime à le dire, super sensuel. Il n’y a pas de points de données là. C'est un peu comme l'amour, vous savez. Essayez de le décrire, c’est difficile. C’est la même chose avec là où nous allons /la direction que nous prenons, et ce n’est pas logique et c’est une bonne chose. Ce n’est pas limité.

 

Alors, chers Shaumbra, profitons de cette occasion pour célébrer le jour de l'amour qui arrive bientôt, le 14 février; saisissons cette occasion maintenant pour aller vraiment au-delà de l’ancienne façon de prendre des décisions, de se percevoir soi-même et de percevoir le monde.

 

Allons dans le super sensoriel, et je ne vais même pas vous expliquer ce que c'est. Saisissez simplement ce sceptre. Il vous y mènera. Je sais que ce sera le cas. C’est une garantie qu'il y arrivera.

 

Saisissez ce sceptre et, qu'il s'agisse d'une décision de votre vie, qu'il s'agisse simplement de changer votre perception de vous-même ou d'avoir une plus grande perception, qu'il s'agisse vraiment de comprendre votre histoire et votre passé, peu importe ce que c'est, laissez des points de données aux choses comme la façon d'allumer votre brosse à dents électrique (rires). Certains d'entre vous ont encore du mal avec cela. Laissez des points de données sur la façon de faire fonctionner votre ordinateur.

 

Mais pour vous, pour votre cœur, pour votre bien-être pendant que vous restez ici sur cette planète, il y a une toute nouvelle façon de percevoir la réalité, d'aller dans vos potentiels, de trouver de vraies réponses - des réponses qui ne viennent pas de Dieu

 

131

 

Vous savez, Dieu n'est qu'un tas de fichues données. Pas vraiment. Je veux dire, la Bible, qu'est-ce que c'est? Des données. Vous n’expérimentez pas Dieu à partir de toutes ces données, et c’est ce que font les chercheurs. Ils pensent qu'ils sont tellement intelligents, mais cela vient du cœur, du sentiment, du super sensoriel.

 

C’est là que nous allons. Ce n’est pas effrayant.

 

Sentez-vous maintenant dans cette grande, grande pièce sombre. Sentez-vous dedans.

 

Au lieu d'utiliser l'ancienne méthode des points de données, puis des émotions et des décisions, restez maintenant là avec le sceptre en main.

 

Pendant un instant, oui, pour l’humain, cela pourrait être un peu effrayant de dire: «Ce n’est rien d’autre qu’une grande, grande pièce sombre. Je n'ai aucune idée de ce qu'il y a là-dedans. Cela pourrait être traître/ perfide. " Puis cela s'estompe.

 

Lorsque vous restez fidèle à vous-même, cela disparaît et soudain - ressentez maintenant ce qui se passe.

 

Soudain – permettez votre vraie conscience - ressentez ce qui arrive/ce qui se passe dans cette pièce en ce moment même.

 

(pause)

 

Vous voyez, il y a ce moment de calme/ de silence, un moment d’interrogation et même d’essayer de combler le silence. Et quand vous prenez quelques respirations profondes, vous vous souvenez: «Je sais mieux.»

 

Vous prenez quelques respirations profondes dans la vraie nature sensorielle de vous-même et vous réalisez que tout est là.

 

132

 

Tout ce que vous voulez savoir sur votre vie, vos prochains mouvements, votre potentiel, vos opportunités, tout est là.

 

Votre Réalisation a toujours été là, mais quand vous avez dit: «Je ne sais pas comment y arriver, je ne sais pas quand cela arrivera», vous êtes resté dans l’obscurité. Vous avez gardé les lumières éteintes.

 

Ça suffit.

 

Saisissez ce sceptre et réalisez : «Je sais mieux».

 

Prenons ensemble une grande respiration profonde, chers Shaumbra.

 

Et merci de m'avoir permis de tester mon nouvel humour. Je crois que j'ai bien réussi (Linda applaudit). Merci. Golf applaudit par ici. Merci. Je crois que j'ai très bien réussi. Je vais devoir rentrer et faire mon rapport à Kuthumi. Je suppose qu'il va m'envoyer une facture maintenant pour les cours (Linda rit). Il y avait une garantie de remboursement, mais cela ne me dérange pas de le payer parce que, vous savez, quel beau cadeau.

 

Je n'ai pas à m'inquiéter de savoir d’où l'argent va venir pour payer Kuthumi. Je n’ai pas besoin de dire: «Je ne sais pas d’où cela va venir.» Je sais mieux. Il est déjà là (il met le chapeau «Je sais mieux» sur sa tête).

 

Alors, chers Shaumbra, prenons une profonde respiration. Nous reviendrons le mois prochain pour découvrir les images graphiques et vivantes de la femme que j'étais dans mes vies antérieures.

 

Sur ce, rappelez-vous que, malgré la tristesse et la folie qui règnent sur la planète, en fin de compte, tout est  bien dans toute la création.

 

Merci, chers Shaumbra (il souffle un baiser). Joyeuse Saint-Valentin. Ouvrez le cœur.

 

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Respiration d’Intégration de Linda

 

 

134

 

Alors allons-y, prenons une bonne respiration profonde au cœur de vous-même.

 

Permettant vraiment que tout cela soit ressenti par chacun d’entre nous.

 

Respirez profondément et sentez-vous dans l’aventure et l’humour d’Adamus.

 

Wow, et il y en aura encore plus avec une bonne respiration profonde alors que nous clôturons ce Je Suis Merlin très spécial.

 

136

 

Soyez avec la bonne respiration profonde jusqu'à ce que nous vous revoyions bientôt

 

Merci de faire partie de ce Shoud

 

Merci à tous

 

137

 

Merci à Adamus et à toute notre équipe ici dans le studio, et de retour en ligne ici pour vous

 

Merci à tous de tout cœur

 

Merci

 

 

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CRIMSON CIRCLE

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Interprétation de Feolla   feolla.ca@gmail.com   https://quatorze.blog4ever.com

 

 

 

 

 

______________________© Copyright Geoffrey Hoppe 2020_______________________

Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe

Vous pouvez distribuer librement ce texte, dans son entièreté, sur une base non commerciale et

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Toutes les photos sont de Dave Schemel

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11/02/2021
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